đ„ Quand on est Ă©tudiants, on se forme. En tant que professionnels, aussi đ„ CH de Dieppe, IFSI / IFAS de Dieppe jeudi 17 octobre 2024 2 min de lecture Comme lors de cette session de formation du 4 octobre dernier, appelĂ©e « AFGSU SSE » pour « Attestation de Formation spĂ©cialisĂ©e aux Gestes et Soins dâUrgence (GSU) en Situation Sanitaire Exceptionnelle (SSE) » (Ă vos souhaits ! đ) Comme nous l’explique le Dr Bouba OUSMANE, MĂ©decin urgentiste et formateur, la formation portait sur « l’Annexe 8 : dĂ©contamination hospitaliĂšre approfondie. » Les participants deviennent ainsi des dĂ©contamineurs. Pour faire partie du « corps de dĂ©contamineurs », il faut avoir validĂ© les annexes 7 (dĂ©contamination d’urgence) et annexe 8 (dĂ©contamination approfondie). En cas d’accident dans une industrie chimique ou dans une centrale nuclĂ©aire ou lors d’un acte malveillant impliquant l’utilisation de toxiques chimiques, les victimes contaminĂ©es seraient dĂ©contaminĂ©es sur place par les pompiers. Celles qui partent par leurs propres moyens sans attendre les secours, arriveraient toujours contaminĂ©es dans les hĂŽpitaux. Ceci explique la nĂ©cessitĂ© de disposer d’une unitĂ© de dĂ©contamination hospitaliĂšre et d’une Ă©quipe formĂ©e Ă la dĂ©contamination. L’objectif principal de l’annexe 8 de l’AFGSU SSE est : prendre en charge des victimes contaminĂ©es par des agents nuclĂ©aires radiologiques ou chimiques, et mettre en Ćuvre l’unitĂ© de dĂ©contamination hospitaliĂšre. » đŹ Le scĂ©nario du 4 octobre : accident dans une usine proche de l’hĂŽpital, utilisant des produits chimiques. Plusieurs personnes sont contaminĂ©es. Certains n’attendent pas les secours sur place et arrivent aux urgences. đ€ Que fallait-il faire ? ProcĂ©der Ă la dĂ©contamination d’urgence (avant que l’unitĂ© de dĂ©contamination ne soit opĂ©rationnelle), puis la dĂ©contamination approfondie (mise en eau dans l’unitĂ© de dĂ©contamination). đ§ Qui Ă©taient les « acteurs » ? Nos futurs collĂšgues de l’IFSI de Dieppe. Plusieurs Ă©tudiants infirmiers de 3Ăš annĂ©e se sont portĂ©s volontaires, et comme l’explique Florence Levasseur, Directrice de l’IFSI IFAS : « il y avait une intention pĂ©dagogique : đ Les sensibiliser Ă la gestion de ce type de situation sanitaire exceptionnelle dans la perspective de leur futur exercice professionnel ; đ Les sensibiliser Ă lâintĂ©rĂȘt de la simulation en santĂ© dans lâactualisation de leurs pratiques professionnels et dâapprendre en Ă©quipe pluri professionnelle ; đ Partager lâexpĂ©rience patient au cours de cette simulation ; đ Et vivre un moment inĂ©dit, en Ă©quipeâŠavec des formateurs/instructeurs 5 Ă©toiles (Nous rajouterons un clin dâĆil : se prĂ©parer pour le bain du 1er janvier avec les Pingouins dieppois, car ĂȘtre en maillot, ce jour-lĂ , vu la mĂ©tĂ©o qu’il faisait, il fallait ĂȘtre sacrĂ©ment courageux.se … đ„¶) MERCI et BRAVO Ă l’ensemble des acteurs / formateurs de cette journĂ©e ainsi que pour le travail partenarial qui offre une mise en pratique « sur mesure » tant aux Ă©tudiants qu’aux « stagiaires ». Nous pouvons ĂȘtre fiers ! Ces actualitĂ©s peuvent vous intĂ©resser jeudi 21 novembre 2024 đ¶đ « 1 bĂ©bĂ© 1 livre » đ𶠫 Depuis plus de dix ans, les orthophonistes organisent chaque annĂ©e, une journĂ©e dâaction «1BĂ©bĂ©, 1Livre» pour favoriser le dĂ©veloppement du… mardi 19 novembre 2024 đČ Aborder un sujet sĂ©rieux, sans se prendre au sĂ©rieux đČ Nathalie Goullet et Manon Quesne, respectivement infirmiĂšre et neuropsychologue au centre de jour du… lundi 18 novembre 2024 đŁ Parce que l’on peut ramer pour la bonne cause … đŁââ Souvenez-vous, fin aoĂ»t dernier, le…
Comme nous l’explique le Dr Bouba OUSMANE, MĂ©decin urgentiste et formateur, la formation portait sur « l’Annexe 8 : dĂ©contamination hospitaliĂšre approfondie. »
Les participants deviennent ainsi des dĂ©contamineurs. Pour faire partie du « corps de dĂ©contamineurs », il faut avoir validĂ© les annexes 7 (dĂ©contamination d’urgence) et annexe 8 (dĂ©contamination approfondie).
En cas d’accident dans une industrie chimique ou dans une centrale nuclĂ©aire ou lors d’un acte malveillant impliquant l’utilisation de toxiques chimiques, les victimes contaminĂ©es seraient dĂ©contaminĂ©es sur place par les pompiers. Celles qui partent par leurs propres moyens sans attendre les secours, arriveraient toujours contaminĂ©es dans les hĂŽpitaux.
Ceci explique la nĂ©cessitĂ© de disposer d’une unitĂ© de dĂ©contamination hospitaliĂšre et d’une Ă©quipe formĂ©e Ă la dĂ©contamination. L’objectif principal de l’annexe 8 de l’AFGSU SSE est : prendre en charge des victimes contaminĂ©es par des agents nuclĂ©aires radiologiques ou chimiques, et mettre en Ćuvre l’unitĂ© de dĂ©contamination hospitaliĂšre. »
đŹ Le scĂ©nario du 4 octobre : accident dans une usine proche de l’hĂŽpital, utilisant des produits chimiques. Plusieurs personnes sont contaminĂ©es. Certains n’attendent pas les secours sur place et arrivent aux urgences.
đ€ Que fallait-il faire ? ProcĂ©der Ă la dĂ©contamination d’urgence (avant que l’unitĂ© de dĂ©contamination ne soit opĂ©rationnelle), puis la dĂ©contamination approfondie (mise en eau dans l’unitĂ© de dĂ©contamination).
đ§ Qui Ă©taient les « acteurs » ? Nos futurs collĂšgues de l’IFSI de Dieppe. Plusieurs Ă©tudiants infirmiers de 3Ăš annĂ©e se sont portĂ©s volontaires, et comme l’explique Florence Levasseur, Directrice de l’IFSI IFAS :
« il y avait une intention pédagogique :
đ Les sensibiliser Ă la gestion de ce type de situation sanitaire exceptionnelle dans la perspective de leur futur exercice professionnel ;
đ Les sensibiliser Ă lâintĂ©rĂȘt de la simulation en santĂ© dans lâactualisation de leurs pratiques professionnels et dâapprendre en Ă©quipe pluri professionnelle ;
đ Partager lâexpĂ©rience patient au cours de cette simulation ;
đ Et vivre un moment inĂ©dit, en Ă©quipeâŠavec des formateurs/instructeurs 5 Ă©toiles
(Nous rajouterons un clin dâĆil : se prĂ©parer pour le bain du 1er janvier avec les Pingouins dieppois, car ĂȘtre en maillot, ce jour-lĂ , vu la mĂ©tĂ©o qu’il faisait, il fallait ĂȘtre sacrĂ©ment courageux.se … đ„¶)
MERCI et BRAVO Ă l’ensemble des acteurs / formateurs de cette journĂ©e ainsi que pour le travail partenarial qui offre une mise en pratique « sur mesure » tant aux Ă©tudiants qu’aux « stagiaires ».
Nous pouvons ĂȘtre fiers !